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« Liaisons des Hauts d’Issy – Centre-ville » : un sujet important mais un projet à revoir profondément…

Posté par touchepasamonciel le 3 mars 2013

Des responsables d’ACTEVI se sont rendus à l’invitation du Conseil de Quartier à une présentation sur  » Les liaisons des Hauts d’Issy – Centre ville » destinée aux riverains de la rue André Chénier. Voici pour informer au plus vite les isséens, leur compte-rendu  « à chaud ».
Il s’agit d’un sujet très important sur lequel ACTEVI attire votre intention. Nous vous incitons à être très vigilants sur ce dossier. Pour sa part, ACTEVI va continuer à y  travailler sur la base des propositions de son Livre Blanc sur les Transports à Issy publié en 2010 et qui restent largement d’actualité.

__________________________________

Compte rendu de la présentation sur les liaisons des Hauts d’Issy – Centre ville et leur impact sur la rue André Chénier

Les riverains de la rue André Chénier ont reçu dans leur boite à lettres le 26 février une invitation « à une présentation du projet d’aménagement relatif aux liaisons des hauts d’Issy- centre-ville» (création de voies de bus, renforcement des lignes, nouveaux arrêts, etc…).  Accueil le jeudi 28 février 2013 entre 8h30 et 10h30.
Que dire ! Nous y sommes allés car nous avons la chance d’être retraités. Donc, une heure d’accueil particulièrement bien choisie en semaine. Mais il nous a été indiqué qu’il y aurait d’autres invitations à des heures plus appropriées, le soir peut-être et en dehors des vacances scolaires.
Une dizaine d’accueillants dans un petit espace, avec un fascicule à consulter.

Voici les réponses qui ont été apportées à nos questions et les commentaires que ces réponses nous inspirent :

Question 1 : le pourquoi du projet

Réponse : Il s’agit d’assurer la desserte du fort. Les premiers habitants arrivent dans trois mois. Il faut prévoir très vite un dispositif.

 Notre commentaire : C’est un sujet tout à fait légitime sur lequel ACTEVI a fait des propositions concrètes dès 2010 dans son Livre Blanc sur les Transports à Issy. Il nous semble qu’il ne serait pas normal d’invoquer l’urgence maintenant.

Réponse : Le TUVIM serait renforcé ainsi que le bus RATP 290. Ils emprunteraient les rues André Chénier, Lasserre et Robespierre dans les deux sens. Pour assurer une bonne fréquence et un bon temps de parcours, la desserte se ferait hors circulation (suppression du stationnement voitures). Tous les bus suivraient le même chemin pour éviter la rue Auguste Gervais qualifiée de « dangereuse ».

Notre commentaire : pour la desserte de cet « écoquartier » durable, la solution bus électriques préconisée par ACTEVI (minibus Gruau ou Oréos 20 ou 40) n’a pas été étudiée par la municipalité, qui préfère opter pour l’augmentation de la pollution et du bruit en centre-ville pour mieux servir les nouveaux arrivants.

De même, le trajet préconisé n’est pas optimal. En particulier, éviter par principe la rue Gervais semble contestable, surtout dans le sens montant.

Question 2 : L’aménagement de la rue André Chénier

Réponse : La rue serait réservée aux bus de lignes dans les deux sens de circulation, avec possibilités pour les riverains de l’emprunter dans le sens montant uniquement.

Le stationnement voitures disparaît, même pour les riverains. Pour le passage des bus, la chaussée serait élargie (beaucoup) et un peu les trottoirs. Les arbres seraient maintenus. Des stationnements minute sont à l’étude.

Notre commentaire : La mise en double voie de la rue Chénier dégraderait très fortement cet axe stratégique d’Issy, très utilisé par les piétons. Il faut au contraire y libérer de l’espace dans l’intérêt des piétons et par voie de conséquence dans l’intérêt des commerçants.

Nous voudrions comprendre comment va s’articuler le trajet des bus, en double sens, dans la rue Robespierre. Il paraîtrait sage de conserver un seul sens de circulation dans les rues étroites et de prévoir l’utilisation d’autres rues (Berthelot, Emile Zola, Brossolette) dans l’autre sens.

Question 3 : fréquences des passages

Réponse : 6 par heure dans un sens x 2 sens  donc 12 par heure (toutes les 5mn en heure de pointe).  

Notre commentaire : Cela doit être ajusté en fonction des heures de la journée et de la capacité des bus.

Question 4 : échéance de réalisation

Réponse : Eté 2013 («  il y a urgence. Les habitants du Fort arrivent dans trois mois. Il faut créer une desserte »)

Notre commentaire : Il est tout à fait légitime de se préoccuper de ce sujet. ACTEVI l’a fait depuis longtemps dans son Livre Blanc. Si tous les habitants de la ville ont le droit d’être correctement desservis, on ne peut s’empêcher de penser que l’on essaie d’imposer des projets hâtifs et mal étudiés.

Question 5 : Y a-t-il d’autres études pour la desserte du fort, vers la gare de Clamart par exemple ?

Réponse : Le bus 169 desservirait la gare de Clamart.

Notre commentaire : Il s’agit d’une liaison essentielle. Encore une fois Les propositions exposées dans le Livre Blanc d’ACTEVI (minibus entre le fort et la gare de Clamart), sont balayées d’un revers de main. Le TUVIM qui traversera le Fort pourrait très aisément faire un petit crochet vers la gare de Clamart.

En conclusion

Le projet présenté nous semble largement améliorable au niveau des parcours, des véhicules utilisés, des aménagements des axes concernés.

Les grands oubliés de cette opération seraient les piétons remontant de la mairie d’Issy vers les Hauts d’Issy et le parc Henri Barbusse, sur des trottoirs toujours aussi étroits. Le trajet doit être revu en intégrant d’autres rues pour libérer de l’espace dans la rue Chénier.

Avec les gros bus diesel préconisés, la liaison entre le centre-ville et son poumon vert le Parc Henri-Barbusse serait condamnée aux pots d’échappement. Les parents souhaitant aérer leur progéniture apprécieront. Dans le cadre du développement durable, Issy devrait montrer l’exemple avec des minibus électriques.

L’urgence artificiellement construite ne doit pas éviter une large négociation avec tous les habitants concernés.

A noter que ce même jour, M. le Maire nous a adressé une lettre sur les transports par téléphérique accompagnée d’une copieuse revue de presse.

Il fait la promotion des téléphériques avec un argumentaire tout à fait contestable quand on le rapporte à Issy : ainsi, les exemples de téléphériques urbains vantés par M. Santini correspondent à des franchissements d’obstacles très importants (fleuve à Londres et à Toulouse, voies ferrées à Ivry, Portland,  dénivelés de plusieurs centaines de mètres à Barcelone, Grenoble, Medellin), avec de grandes distances à parcourir dans tous les cas ). Cela n’a rien à voir avec la situation à Issy.
Dans le cas qui nous intéresse, on a 50m au maximum de dénivelé et 800mètres au maximum de distance. Avec un téléphérique, les temps de trajets incluant notamment les détours pour atteindre les gares et le temps passé en files d’attente seront non compétitifs, peu réguliers et dissuasifs). Le cas échéant, il serait possible de proposer ponctuellement un petit escalator  ou un ascenseur pour aider ceux qui en ont besoin (par exemple derrière l’escalier monumental du Parc Barbusse).

Que dire de la coïncidence de l’envoi de cette lettre du maire et de la présentation du projet de bus ?

Serait-ce pour cela que l’on nous présente un projet de liaison par bus ayant les caractéristiques d’un projet repoussoir pour tenter de valoriser un téléphérique, pourtant gadget coûteux et inefficace dans le cas présent ?

Il faudra aussi remettre ce projet de liaison entre le fort et le centre ville dans un contexte plus global

Cette réunion du 28 février avait pour seul objet de présenter l’aménagement rues André Chénier, Lasserre et Robespierre : Ce projet ponctuel, présenté à la va-vite, ne prend pas en compte un aménagement global du centre-ville et n’intègre pas les modifications qui pourraient être apportées par la réalisation de la gare du Grand Paris Express dans le quartier Léon Blum (avec une nouvelle gare d’autobus et la possibilité d’y rejoindre la ligne 12 du métro, dont l’extension est d’ores et déjà actée si l’on en croit le Point d’Appui de février 2013).

La proposition du livre blanc d’ACTEVI d’une desserte du fort via l’avenue de la Paix puis Général de Gaulle, vers Corentin Celton, afin de désengorger le centre-ville, sans parler d’un cheminement piétonnier vers la gare de Clamart n’a pas été prise en compte alors qu’elle le mériterait.

Si nos propositions étaient adoptées, les habitants du fort bénéficieraient d’un accès au métro Mairie d’Issy, au métro Corentin Celton, à la gare de Clamart et à la gare RER Issy ville, avec à l’avenir la possibilité de rejoindre également la ligne 12 à Issy ville, ainsi que la nouvelle gare du réseau Grand Paris prévue à Léon Blum.

Il est urgent de mettre autour de la table les acteurs concernés et motivés (dont ACTEVI fait partie) dans un esprit ouvert et positif pour trouver une bonne solution aux problèmes posés.

 

 

3 Réponses à “« Liaisons des Hauts d’Issy – Centre-ville » : un sujet important mais un projet à revoir profondément…”

  1. bifaceb dit :

    Le projet tel qu’il circule de manière orale, presque clandestine, présente en effet de multiples inconvénients:

    - il dégrade la qualité de vie des habitants de la rue andré chénier, rend plus difficile l’accès aux commerçants du centre ville en supprimant des stationnements utiles. Cette voie devrait, au contraire, progressivement être moins tournée vers la circulation automobile et plus vers les circulations douces, piétonnières et vélo, vers le parc Henri Barbusse.

    - pour la rue Robespierre, la punition est encore plus forte : suppression des stationnements pour ceux qui vont au parc, aux boules, qui utilisent cette voie en cas de saturation du centre ville, suppression de la circulation pour vélos qui s’y fait ( la parc ne peut s’y substiture: il n’est pas toujours ouvert, comporte des escaliers, des enfants en train de jouer: les vélos y sont interdits)…, et double sens de bus : la rue Robespierre est la plus étroite du quartier (la seule à deux chaussées, une en circulation, une en stationnement, est pourtant celle sur laquelle on affecte le plus de trafic…)

    on peut imaginer, craindre, que ces deux voies, leurs riverains, soient pénalisés pour avoir combattu le téléphérique sur leurs têtes , idée de téléphérique qui semble bizarrement ressurgir à la mairie.

    d’autres solutions sont envisageables en empruntant la rue de la défense, la rue henri tariel, en mettant au moins en partie à double sens l’avenue Victor Cresson, en utilisant la rue Pierre Brossolette, pas vraiment embouteillée, en fluidifiant le carrefour du 11 novembre en y mettant un rond point au lieu du feu tricolore, en mettant un sens de circulation en site propre av charles de gaulle comme le suggère ACTEVI, …
    si les escaliers mécaniques des épinettes fonctionnent bien pourquoi ne pas en construire un dans le parc henri barbusse ?
    beaucoup de choses sont possibles, il faut mettre autour de la table, comme l’indique votre article, les acteurs concernés, en faisant jouer leur rôle aux habitants comme aux experts…

    Dernière publication sur biface face b : brick and clic

  2. francis dit :

    ANALYSE
    Projet présenté
    Les difficultés techniques du projet sont importantes : tournants dans les deux sens Lasserre/Robespierre/ A. Chénier , circulation des vélos, travaux nécessaires.
    La partie « chicane » dans la rue Lasserre venant des rues Chenier/ /Robespierre avec des bus tournant dans les deux sens, sur un des passages les plus encombrés, me semble comporter des risques d’embouteillage, d’énervement, voire d’accident, et entraine sans doute un rétrécissement des trottoirs destinés aux piétons, sans compter l’éviction des vélos déjà évoquée.
    Les 95 places de stationnement des rues A. Chénier et M. Robespierre supprimées dans le projet pénalisent les riverains : stationnement, mais aussi livraison, dépose, visiteurs, et aussi tous ceux qui utilisent des emplacements pour venir faire des courses dans le quartier ou se promener dans le parc H. Barbusse. Ces places sont utilisées durant toute la journée, rue André Chénier, quasiment toutes utilisées rue Robespierre l’après-midi et durant le week-end. Il faut noter qu’aucun nouveau dispositif de stationnement, gratuit ou payant, n’a été mis en service ou prévu dans le périmètre.

    Problématiques.
    Le trafic entre les Hauts et le Bas est parfois difficile, essentiellement dans le sens descendant, à certaines heures. Les rues touchées par les embouteillages sont A. Gervais en journée, surtout le matin, Lasserre/Telles de la Poterie et rue de la Défense entre 8 et 10h, Pierre Brossolette, Gabriel Peri entre 8h et 8h30.
    A la montée, seulement, Lasserre/ Telles de la Poterie de 18h à 20h.
    Cette analyse montre que, sauf à certaines heures spécifiques, il y a une fluidité normale et que les solutions à rechercher ne doivent pas conduire à remettre en cause l’agrément d’une partie du quartier tournée vers le parc Henri Barbusse et ses abords.
    Dans ce cadre, il y a matière à étudier et proposer, discuter des solutions alternatives.
    Premier point : la circulation montante ne crée que très peu de difficultés, et n’est pas un enjeu même si une amélioration serait bienvenue et une légère détérioration acceptable.
    Second point : pour l’amélioration de la circulation descendante, existent aujourd’hui les quatre possibilités suivantes, qui partent de points différents de la rue de la Paix, certains plus côté Epinettes, d’autres plutôt côté Direction de la Gendarmerie/Clamart :
    - A-rues de la Défense, Bd Rodin, Rue Henri Tariel, rues André Chénier ou Berthelot
    - B-rue Pierre Brossolette, rues Lasserre/ Telles de la Poterie, rue André Chénier/ ou Berthelot
    - C-rues Gabriel Péri et Auguste Gervais.
    - D-rue du Général de Gaulle, Boulevards Voltaire et du Lycée.

    Observons que beaucoup de ces rues, avenues, ont au moins 3 voies, parfois 4, souvent 1 ou 2 de circulation,
    1 ou 2 de stationnement (Défense, Tariel (2S , 1C), Pierre Brossolette ( 2C, 1S), etc…) , de Gaulle (2C, ±2S), Lasserre, Telle de la Poterie, les rues Auguste Gervais et Gabriel Péri (2C), Robespierre (1S, 1C) étant les seules à n’avoir que deux voies .
    Les différentes pièces de ce puzzle peuvent être assemblées de diverses manières pour chercher une cohérence et une efficacité maximales.

    Propositions et solutions alternatives.
    Je pense qu’il y a un intérêt pour les habitants des Hauts, du Fort, à ce qu’une liaison par bus redescende par l’itinéraire A et desserve ainsi la station du RER: rue de la Défense, bd Rodin (voie en partie réservée) puis, éventuellement la rue Henri Tariel. La rue de la Défense fait partie des rues potentiellement encombrées mais des solutions peuvent être recherchées : le feu en bas peut être transformé en un « cédez le passage » bd Rodin, voire en « priorité à droite », ce qui devrait se traduire par une grand fluidité du trafic dans cette rue. De plus cette rue était à double sens avec deux voies de circulation il y a peu de temps : réaliser deux voies de circulation descendantes serait donc aisément réalisable, d’autant qu’il y a deux voies sur le Bd Rodin au débouché. Un circuit TUVIM pourrait être ainsi tracé qui pourrait ensuite prendre Henri Tariel, la rue André Chénier dont le sens aurait été inversé, ou la rue Berthelot pour rejoindre St Etienne ou, poursuivant le boulevard Rodin il pourrait aussi revenir vers le bas de la ville ou vers la mairie.
    Une autre possibilité pour le TUVIM, comme pour 169 ou le 290 est l’utilisation des rues Pierre Brossolette, puis d’Alembert, avant de prendre la rue de l’Abbé Derry pour continuer vers Corentin Celton, ou de redescendre vers la mairie par l’Eglise St Etienne et la rue Jean Jaurès, jamais encombrée.
    L’itinéraire C est suffisamment étroit et utilisé pour ne pas être le vecteur principal des bus.
    Par contre, les itinéraires B et D sont parfaitement utilisables à la descente par les bus, la rue Charles de Gaulle pouvant sans doute permettre une voie réservée pour les transports en commun, avec le 394, et moyennant des aménagements, une voie pour bus pourrait sans doute être possible au sein du boulevard Voltaire sur le tronçon utilisé.
    La rue André Chénier pourrait être mise en sens unique de la descente pour les bus, les bus montants passant par Émile Zola puis la rue Robespierre évitant une chicane dans la rue Lasserre souvent embouteillée, ou directement la rue Pierre Brossolette. La rue Berthelot peut servir à la descente pour faciliter le passage vers
    St Etienne, le Monoprix (ou à la montée suivant les flux).
    Des points importants sur le projet de GPSO :
    - Si la circulation rue Robespierre devait effectivement être descendante, elle pourrait ne l’être qu’au moment utile (6h/10h ou 6h /12h), avec une circulation « montante » alors sur l’axe Lasserre/ Brossolette, pas du tout encombré à ces moments, en conservant le stationnement.
    C’est une solution qui semble utilisée dans de bonnes conditions en Allemagne.
    - Si la circulation à double sens des bus devait être retenue pour les rues Robespierre et Chénier, elle pourrait se faire en préservant une partie du parking en aménageant, pour les bus, qui passeront à intervalles, des « passing place » comme en Grande-Bretagne.
    - Si cette circulation des bus à double sens était retenue, elle devrait se traduire par des voies réservées, donc interdites aux voitures, durant les horaires de circulation des bus.
    - Enfin, elle implique que des bus à moteur électrique soient aussitôt que possible mis en service sur ces liaisons.
    Le projet proposé par GPSO implique certains aménagements (rue Lasserre/Robespierre, av de la Paix) et suppose que les travaux importants en cours soient terminés au croisement Robespierre/Brossolette car ils me semblent incompatibles avec la circulation envisagée. L’échéance annoncée sur le panneau de ces travaux est Avril 2014 ce qui me semble laisser le temps pour élaborer et tester des solutions alternatives.
    Parmi les points qui doivent être pris en compte, la possibilité d’un rond-point place du 11 novembre, en neutralisant les feux tricolores au moins à certaines heures, pour fluidifier les circulations des rues qui y arrivent et la modification du carrefour de Weiden pour améliorer la fluidité.
    Au-delà des aménagements proposés, une étude sur la circulation av. Victor Cresson devrait être entreprise. Il y a assez longtemps, cette rue, cet axe étaient à double sens. La mise à sens unique a contribué à en faire un axe de transit plus que de circulation locale. Observons qu’il y a en permanence, un trafic quasi fluide. L’exemple de Paris et des Grands Boulevards, depuis quelques mois à double sens, montre qu’on peut mettre en place une circulation adaptée à une circulation urbaine, en contentant riverains, commerçants, etc… sans faire obstacle à la circulation. Une mise à double sens partielle, par exemple entre le carrefour de Weiden et la Mairie ou Corentin Celton.
    Cela donnerait une autre possibilité de faire revenir des bus du Bd Rodin vers la Mairie.

    Voies et itinéraires proposés, en résumé, avec des variantes possibles :
    Changement de sens de la rue André Chénier,
    aménagement d’une voie pour les vélos dans les rues André Chénier, Lasserre, Robespierre, utilisant éventuellement le parc lorsqu’il est ouvert.
    - montée :
    (Tuvim et 290 ? ) rues A. Gervais, P. Brossolette ou E. Zola, M. Robespierre,
    P. Brossolette, de la Paix ou de l’Egalité.
    (169 et 323) : rue A. Gervais. G Peri pour desservir la Direction de la Gendarmerie et la gare de Clamart.
    – descente : TUVIM, via rue de la Défense avec les aménagements et les itinéraires évoqués plus haut.
    290 via la rue P. Brossolette, Lasserre/ A Chenier ou A. Gervais,
    169 via rue du General de Gaulle (éventuellement sur voie réservée, avec le 394), Corentin Celton, rejoignant son itinéraire par le Bd Gambetta.

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